À la lisière de la ville s'élève la Darvazeh-e Quran. Si l'on ignore la date exacte de sa construction (peut-être au XIXème siècle), on sait en revanche que Karim Khan fit rajouter une salle au dessus de la porte pour abriter un Coran sacré.
Selon la tradition persanne, toujours respectée par certains, les voyageurs doivent passer sous un Coran avant d'entreprendre tout périple.
Aujourd'hui, la salle vide sert d'abri aux pigeons ; la porte elle-même a bien failli disparaître : elle fut démolie il y a 70 ans lors du percement de la route, puis remontée cinq ans plus tard par des hommes d'affaires locaux offusqués.
À la lisière de la ville s'élève la Darvazeh-e Quran. Si l'on ignore la date exacte de sa construction (peut-être au XIXème siècle), on sait en revanche que Karim Khan fit rajouter une salle au dessus de la porte pour abriter un Coran sacré.
Selon la tradition persanne, toujours respectée par certains, les voyageurs doivent passer sous un Coran avant d'entreprendre tout périple.
Aujourd'hui, la salle vide sert d'abri aux pigeons ; la porte elle-même a bien failli disparaître : elle fut démolie il y a 70 ans lors du percement de la route, puis remontée cinq ans plus tard par des hommes d'affaires locaux offusqués.